Selon l'Agence nationale des fréquences en France, les valeurs maximales des ondes émises par les compteurs électriques Linky sont plus de 20 fois inférieures aux limites réglementaires.

En 2020, la consommation mondiale d’énergie primaire pourrait baisser de près de 6% selon les estimations de l'AIE.

En France métropolitaine continentale, la PPE fixe pour objectif de réduire la consommation finale d’énergie de 7,5% en 2023 et de 16,5% en 2028 par rapport au niveau de 2012.

Le 20 avril 2020, le cours du baril de pétrole brut américain « WTI » pour livraison en mai a atteint un prix négatif de - 37,6 $ à la clôture à New York.

En 2018, l’hydroélectricité a compté pour 15,8% de la production mondiale d'électricité, contre 9,3% pour l'ensemble des autres filières renouvelables réunies.

Selon le GWEC, le parc éolien mondial a généré 1 390 TWh en 2019 et a atteint une puissance cumulée de 651 GW à fin 2019.

La semaine du 30 mars 2020, les prix des carburants à la pompe en France atteignaient en moyenne 1,231 € par litre de gazole et 1,2725 € par litre de SP95-E10.

Le cours du baril de Brent a chuté de plus de moitié entre le 3 et le 18 mars 2020, dans le contexte de l'épidémie de coronavirus et en l'absence d'accord de l'OPEP+.

Selon l'AIE, les pays en développement « vulnérables » pourraient voir leurs revenus issus du pétrole et du gaz chuter de 50% à 85% en 2020 si « les marchés restent dans les conditions actuelles ».

En 2019, le mix électrique américain a principalement reposé sur le gaz naturel (38,4%), le charbon (23,5%) et le nucléaire (19,7%).

Entre janvier 2019 et mars 2020, les tarifs réglementés de vente de gaz d’Engie ont baissé en moyenne de 18,6% selon la CRE.

En 2019, 92,2 millions d’euros ont été collectés en France dans le cadre de campagnes de financement participatif liées à l'environnement ou aux énergies renouvelables, selon le baromètre du crowdfunding réalisé par Mazars.